logo
  • Kildir Technologies
  • Produits et Services
    • TopoPix imagerie aérienne
    • SOASP – Suivi des Opérations d’Aéronefs Sans Pilote
  • À propos de nous
  • Localisation
  • Contactez nous
  • Blogue

Le récepteur EMLID Reach RS2 en stock chez Kildir Technologies

Il répond à ses promesses

Kildir Technologies est fière d’annoncer que son fournisseur EMLID poursuit sur sa lancée de démocratisation du positionnement par satellite en annonçant le nouveau récepteur GNSS Reach RS2.

Ce nouvel appareil va certainement secouer une industrie du positionnement de précision qui n’avait pas fait énormément d’efforts pour réduire les coûts de ses appareils pour sa clientèle. Il a fallu un nouveau joueur, issu d’une campagne de socio-financement pour changer les choses.

Le récepteur intégré Reach RS+, en marché depuis plus d’un an maintenant, avait jeté les bases. Proposant GPS sous L1, Glonass, Galileo et Beidou, le mode cinématique en temps réel (RTK) et une communication radio intégrée Base-Rover à un prix avoisinant les 1100$ l’unité, la révolution était en branle.

À la fin mars 2019, EMLID annonçait une nouvelle génération qui égale la performance et la rapidité de ses concurrents haut de gamme bien établis, toujours à une fraction du prix, bien sûr. Le prix de détail de ce petit bijou est fixé à 2560$Can, avec les caractéristiques suivantes:

  • Capte GPS/QZSS L1C/A, L2C, GLONASS L1OF, L2OF, BeiDou B1I, B2I, Galileo E1-B/C, E5b, SBAS L1C/A
  • Convergence RTK rapide
  • Antenne intégrée multi-fréquences avec réduction des multi-trajets
  • Connectivité 868/915 MHz LoRa jusqu’à 8km en visibilité directe
  • Modem cellulaire 3.5G intégré pour services de correction externes
  • Communications Wifi, Bluetooth et RS232
  • 22 heures d’opération sur une seule charge (Batterie LiFe)
  • Support NTRIP et VRS, fonctionne avec RTCM3
  • Enregistre des données brutes RINEX jusqu’à 20Hz
  • 16GB de mémoire interne pour stockage des données
  • Résistance aux conditions et intempéries de niveau IP67

Pour plus de détails, voyez directement sur le site du fournisseur

ou voyez la fiche technique (appuyez sur le bouton pour la télécharger)Télécharger

La livraison des premiers appareils de cette génération est commencée, Kildir Technologies en a maintenant en stock et peut répondre à la demande immédiatement. J’ai profité de la première livraison pour en extraire deux « démos » et après les avoir testés, ils fonctionnent exactement comme prévu et offrent même une plus grande distance de couverture pour le lien télémétrique LoRa 900MHz entre les appareils si vous choisissez ce type de configuration. En corrections reçues par Internet, dans la grande région de Québec par exemple, une simple carte SIM vous permet d’utiliser les corrections RTK gratuites de la station de référence du MRN à l’Atrium. À ce prix, vous pouvez même opérer votre propre station permanente à votre bureau et utiliser autant d’appareils sur le terrain que vous voulez, pour un prix avoisinant l’abonnement annuel à un service de corrections d’un seul « rover » sur le terrain.

Contactez-moi pour plus de détails.

André Verville

Kildir cesse la revente du logiciel Pix4D

C’est à regret que je dois annoncer que Kildir Technologies se désengage du programme de revente du fournisseur de logiciels Pix4D. Cette entreprise procède actuellement à une refonte complète de ses programmes à l’intention de ses revendeurs dans le monde et aucune des différentes options qu’elle a proposé ne convient à mes objectifs d’affaires.

Pix4D a été un précurseur dans la démocratisation des technologies d’aérotriangulation par auto-corrélation basée sur des caméras imparfaites, en modélisant tout simplement les paramètres de distorsion de celles-ci. Ces techniques sont aujourd’hui plus répandues mais Pix4D demeure l’un des fournisseurs de logiciels les plus intéressants dans le domaine du traitement numérique d’imagerie aérienne et son produit est probablement le plus facile à utiliser. Comme expert en photogrammétrie, je connais bien son fonctionnement mais aussi ses qualités et ses défauts, j’ai d’ailleurs collaboré à plusieurs occasions avec les experts du support technique de Pix4D afin de leur soumettre des suggestions d’améliorations, dont certaines ont été intégrées dans le produit.

Par contre, la presque totalité des fournisseurs de logiciels offrent maintenant leurs produits à l’achat direct et Pix4D n’y fait pas exception. Ceci a toujours été un frein à ce que je consente d’investir des efforts de marketing et de promotion dans la promotion du produit, mon fournisseur étant en compétition directe avec moi. Les dirigeants de l’entreprise sont actuellement en réflexion et vont peut-être revenir avec de nouvelles options de collaboration s’ils constatent qu’un trop grand nombre de leurs experts locaux font comme moi et quittent le navire. L’avenir nous le dira.

André Verville

L’inventaire de drones de Kildir maintenant à l’INRS

À la fin septembre, j’avais annoncé à ma clientèle ma décision de me départir de l’inventaire de drones et pièces d’atelier de mon entreprise, dans le but éventuel de ne plus avoir besoin d’un atelier pour poursuivre mes activités professionnelles. C’est maintenant chose faite.

Des discussions ont été entreprises avec le centre Eau Terre Environnement de l’Institut national de la recherche scientifique à Québec, qui s’est montrée intéressée à acquérir l’inventaire d’équipements de Kildir Technologies et une entente a été récemment conclue avec M. Karem Chokmani, professeur et responsable au laboratoire TED (télédétection environnementale par dones) de l’institut.

Cette entente permettra à M. Chokmani, son équipe de support et ses étudiants, d’augmenter l’éventail de leurs ressources d’équipements. L’entente comporte par ailleurs des options quant à ma propre collaboration au projets du Centre, à titre d’expert et éventuellement dans l’instruction au pilotage d’UAV. Je pourrai par exemple devenir une ressource externe utile dans la mise au point de systèmes et charges utiles spéciales dans leur laboratoire et sur le terrain.

Je suis heureux de voir que les hexacoptères de ma conception pourront éventuellement entamer une nouvelle mission dans le secteur de la R&D et j’ai hâte de m’impliquer dans les projets du Centre.

André Verville

TopoPix: Le virage stratégique de Kildir Technologies

Plusieurs de mes clients le savent, je ne m’en suis pas caché. Le marché des drones n’a pas évolué comme je l’avais anticipé. Il s’agit d’un tout nouveau secteur d’activités et son évolution est difficile à prévoir, parce qu’il dépend de trop de facteurs. Il y a 4 ans, j’avais compris que les levés photographiques aériens ne pourraient plus toujours être effectués avec des systèmes de caméras valant plusieurs centaines de milliers de dollars installées sur des avions spécialement équipés. Le drone a amené un changement de paradigme dans notre industrie et je suis heureux d’y avoir participé. Il fallait malgré tout bien comprendre que l’aéronef sans pilote a bouleversé bien plus que notre industrie, il a pris d’assaut l’espace aérien jusque là réservé aux aéronefs habités en vol à vue (VFR) ou aux instruments (IFR). Personne n’était prêt au changement et ne savait comment l’aborder.

Depuis maintenant 4 ans que je suis actif dans ce secteur, on a vu, compris et mieux mesuré les enjeux des levés aériens par drones. En février 2015, j’avais préparé et donné un cours aux arpenteurs-géomètres du Québec sur les levés aériens par drones. Il y avait eu au total environ 600 arpenteurs-géomètres sur les 1000 environ en droit d’exercice au Québec qui y avait assisté. Mon collègue Marcel Laberge et moi avions présenté les avantages et inconvénients, enjeux et opportunités de  ce type de levé topographique. La réaction des participants a finalement été plus près du choc traumatique qu’à un élan d’enthousiasme: les gens ont bien compris que ce n’était pas facile, qu’il y avait des risques et que Transports Canada nous tiendrait au bout d’une laisse très courte.

Bon joueur et respectueux des lois et des règlements, j’ai pensé que ma clientèle ferait de même et utiliserait mes services en formation et en assistance technique pour la mise en place de leurs propres compétences en levés aériens aéroportés. Il n’en fut rien: c’était à l’évidence trop compliqué. La clientèle pour les drones et les produits et services qui y sont associés ne s’est pas présentée.

Il y a un peu plus d’un an maintenant, l’un de mes rares clients, Benoît Neveu de la firme GNL Arpenteurs-Géomètres à Joliette m’a lancé un cri du coeur. Il avait en effet développé une clientèle industrielle en volumétrie et l’obtention des permis (COAS) à Transports Canada pour faire voler son drone ne pouvait se faire qu’au bout de délais qui s’étiraient à l’époque à plus de 2 mois. La question qu’il m’a posé était alors la suivante: « André, penses-tu qu’on pourrait mettre la caméra du drone sur un avion avec pilote pour faire le travail? ». L’hypothèse qu’on posait alors était qu’on devait s’affranchir des restrictions imposées aux drones, augmenter la résolution et la qualité de l’imagerie produite parce qu’on aurait assurément à voler plus haut mais qu’en même temps, on devait éviter de se lancer dans l’explosion de coûts que représentent les caméras aériennes et systèmes de navigation sophistiqués, les avions bimoteurs et équipages dédiés.

Il m’a alors mis en mode solution: nous avons commencé le prototypage et des tests avec un pilote de monomoteur non commercial. La preuve de concept a rapidement été faite, ce qui nous a permis d’établir la liste des éléments essentiels à une opération commerciale: un système de navigation simple et précis et un système de caméra qui peut être installé sur un petit aéronef commercial, sans toutefois le modifier au point qu’il ne puisse servir qu’à cette fin. À l’hiver 2017, nous avons travaillé sur ces deux aspects et nous avons mis au point le système TopoPix et formé les pilotes de deux opérateurs aériens qui, bien que déjà actifs en photographie aérienne, n’étaient pas équipés pour de la photo verticale et systématique (sur plan de vol).

Le service TopoPix est maintenant offert à la clientèle de GNL et de Kildir Technologies. Il peut être utilisé pour l’acquisition d’imagerie brute, mais le service peut également comporter des travaux de géolocalisation centimétrique de l’imagerie, la production de modèles numériques de surface, des rapports de volumétrie et des orthomosaïques.

Voilà, le virage est pris.

André Verville

TopoPix prend son envol

Cessna 172 avec caméra sur hauban

En ce début 2017, je suis heureux d’annoncer que Kildir Technologies s’est associé avec GNL Arpenteurs-Géomètres (Joliette, Qc) pour le déploiement d’un nouveau service d’imagerie aérienne par avions légers.

Mis au point conjointement par nos deux firmes, TopoPix comble un besoin pressant en termes de photographie aérienne. Il consiste en quatre composants clé issus de nos efforts en recherche et développement appliquées à notre secteur d’activités:

  • une caméra professionnelle haut de gamme, possédant un capteur numérique à très haute sensibilité, des lentilles de haute qualité et un ensemble de caractéristiques permettant la saisie en rafale aux plus hautes résolutions
  • l’intégration de la caméra dans un système de support qui peut s’installer aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur d’un avion monomoteur de type Cessna et qui est certifié conforme à la règlementation sur la navigabilité des aéronefs
  • un système de planification de vol et de navigation simple précis, qui permet l’automatisation de la prise de vues et qui rend optionnelle la présence d’un opérateur de caméra à bord de l’aéronef
  • finalement, un contrôle méthodologique et technique de bout en bout, qui assure une photographie de qualité à des résolutions pouvant atteindre les 2 centimètres par pixel

Les levés photographiques aériens font appel à des compétences techniques dans deux secteurs d’activité généralement distincts: l’aéronautique et la photogrammétrie. TopoPix fait en sorte de dissocier ces compétences: nous prenons en charge le volet photogrammétrique et nous confions à des opérateurs aériens qualifiés le soin d’opérer les aéronefs. Cette approche flexible optimise la logistique des opérations aériennes en permettant que des aéronefs ne soient pas nécessairement dédiés ou configurés spécialement pour les levés aériens.

Kildir et GNL ont formé et certifié leurs partenaires à l’utilisation du système, ces derniers s’assurent d’opérer en conformité avec leurs permis d’exploitation commerciale et voient à l’opération sécuritaire dans l’espace aérien du projet de levé photographique avec Transports Canada et NAV Canada.

Nous avons des ententes de collaboration avec deux opérateurs aériens de grande expérience, Aerogram Inc., à St-Hubert et Prestige Air Photo Inc. à Lévis, opérant depuis l’aérodrome de Neuville. Ces opérateurs sont équipés d’aéronefs à grande autonomie et sont en mesure d’effectuer des travaux sur une grande partie du territoire québécois.

Pour toute information, soumission ou offre de prix, n’hésitez pas à nous contacter. La manière la plus simple est d’utiliser l’adresse de courriel de TopoPix: info@topopix.ca

Vous pouvez également télécharger ici un feuillet récapitulatif d’une page en pdf sur TopoPix: Sommaire TopoPix

André Verville

Archives

  • juillet 2019
  • novembre 2018
  • décembre 2017
  • septembre 2017
  • mai 2017

Blogue et Nouvelles

  • Le récepteur EMLID Reach RS2 en stock chez Kildir Technologies 2019-07-28
  • Kildir cesse la revente du logiciel Pix4D 2018-11-10
  • L’inventaire de drones de Kildir maintenant à l’INRS 2017-12-03
  • TopoPix: Le virage stratégique de Kildir Technologies 2017-09-29
  • TopoPix prend son envol 2017-05-01
  • Kildir Technologies
  • Produits et Services
  • À propos de nous
  • Localisation
  • Contactez nous
  • Blogue